monster-spectacular-brutus.jpg Il y avait donc des mini-duels qui se succédaient, mettant en scène les douze monstres du show, le plus souvent portant des noms bien "bourrins" tels que Brutus, Shock Therapy...

De petits spectacles se déroulaient en guise de "pause" entre les duels, tels que le mini Destruction Derby (mini oui... Quand il y a 5 voitures qui se galèrent à avancer dans la boue plutôt que de tout péter à fond, c'est plutôt mini) ou encore la mini course de Stock Car.

monster-spectacular-destruction-derby.jpg Mini également, mais plus drôle puisqu'après avoir fait un ou deux tours presque "normaux", c'est devenu le gros bordel, t'en a un qui coupe le "circuit" en plein milieu, l'autre qui prend la rampe des monster trucks à fond... bref, ça part en vrille et c'est ça qu'est bon.

monster-spectacular-schoolbus.jpg Finalement les monstres sont revenus chacun leur tour pour une session de "freestyle" où ils allaient taper un peu dans tous les éléments qui étaient disposés dans l'arène.

Bon, même si le show n'était pas très cher, on va dire que je m'attendais quand même à quelque chose de plus "Spectacular", justement. En fait, j'ai trouvé que le show manquait de folie et de surprises, car une fois qu'on a vu les engins passer, re-passer et re-re-passer sur les carcasses de voitures... ben on s'attend un peu à voir autre chose, à être encore surpris, mais malheureusement tout devient très "prévisible" et c'est dommage. Cela donne l'impression que ce sont surtout les pilotes, qui s'amusent...

Mais bon, c'était quand même une bonne soirée et j'y retournerai peut-être en novembre (ils semblent passer à Montréal deux fois par an), cette fois avec un appareil photo convenable (je rappelle que mon HS10 ne fonctionne plus très bien, et surtout j'avais peur qu'on le prenne pour un reflex à l'entrée et qu'on me l'interdise, hum). Le Nexus One ne s'est pas si mal débrouillé que ça, d'ailleurs une petite vidéo :


En tout cas, ça compense un peu le fait de ne pas pouvoir aller aux 24 heures du Mans et ça me donne ma dose de rugissements de moteurs même si l'ambiance et le "casting" n'est pas vraiment comparable. C'était aussi l'occasion de revenir à l'intérieur du Stade Olympique... après 10 ans !